Nos élites auraient-elles des pensées eugénistes ? (Partie 1)

Présentation du blog  d’un auteur engagé contre « l’establishemen » mondialiste.

La page ci-dessous recoupe des infos déjà publiées par PG avec quelques détails supplémentaires.

Publié le 14 Août 2024 par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Cet article fait suite à : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2024/08/un-grand-coup-de-lance-ou-de-spike-dans-le-ventre-de-cette-humanite.html

Singapour, le pays le plus vacciné de la planète est aujourd’hui confronté à une crise démographique. Non seulement la surmortalité y monte en flèche, mais les taux de natalité y sont également en chute libre. Et devinez quoi ! Ce sont les fameux « vaccins » COVID-19 qui en sont la cause. En 2021, l’accroissement naturel de la population (naissances moins décès) y a chuté de 13 %. En 2022, il a connu une chute vertigineuse de 39,4 %. En 2023, l’accroissement naturel de la population a encore chuté.  https://x.com/VigilantFox/status/1822754893188530539

Cela me rappelle mes articles concernant la grippe espagnole de 1918. Car ce n’était pas une grippe, et seuls ceux qui ont été vaccinés ont péri. Cette fameuse « grippe » était issue d’un programme eugéniste lancé en 1915 aux USA, par John D. Rockefeller et ses coreligionnaires : Andrew Carnegie, Graham Bell et d’autres. L’objectif déclaré était de réduire la population des USA de 10%, soit 15 millions d’hommes et de femmes.

Ces individus avaient déjà consolidé leur monopole dans le pétrole, les chemins de fer, l’acier et les industries bancaires. Pour eux, la suite consistait à investir dans des méthodes de contrôle et de réduction des populations. En effet, l’eugéniste se prend pour un « dieu », son objectif est d’éliminer les personnes que lui et l’élite jugent inférieures sur le plan génétique.

À l’époque, ils ont donc financé une campagne de lobbying massive pour la promulgation de lois visant à stériliser ceux qu’ils jugeaient inaptes. Les lois sur la stérilisation ont d’abord été promues seulement dans 28 états des USA. Leur objectif était de stériliser 10% de la population américaine.

Mais qu’on se rassure ! Comme de nos jours, cet objectif devait être atteint sous prétexte d’améliorer la santé publique et la race humaine. Ce sont ces mêmes lois sur la stérilisation qui, peu après, ont servi de modèles aux nazis sur l’hygiène sociale. Tout ce qu’on nous apprend est faux, surtout les mythes entourant les riches « philanthropes ».

Ainsi, le mythe de la grippe espagnole qui, en 1918, a tué entre 50 et 100 millions de personnes dans le monde a été entourée d’un faux récit pendant plus d’un siècle. Et tout ce que je vous relate ici révèle une pléthore de similitudes entre ce faux récit de pandémie de 1918 et celui du coronavirus de 2020 !

Elle ne venait pas d’Espagne et n’était pas une grippe. Elle n’a pas été causé par un virus. Les guerres servent toujours d’incubateurs à de nouvelles expériences. Entre les canons, les gaz et les mitrailleuses, les sales expériences de l’institut Roro ont tué beaucoup plus d’hommes que tout le reste. Mais ça, on ne vous l’apprendra jamais à l’école judéo-maçonnique.

En 1918, avec 2 millions d’hommes envoyés sur les champs de bataille en Europe, les scientifiques de l’institut Rockefeller ont saisi l’occasion de « tester » un vaccin expérimental sur ce nouveau groupe de cobayes humains désormais disponible.

Janvier 1918, un vaccin expérimental contre « la méningite » est fabriqué à partir de chevaux. Il est alors testé sur des soldats. 4792 hommes reçoivent la première dose. 4257 hommes reçoivent la seconde et 3702 hommes reçoivent les trois doses. Peu de temps après avoir été injectés, les soldats présentent certains des symptômes semblables à ceux de la grippe : toux, vomissements, diarrhée.

Des épidémies de grippe sont enregistrées dans 14 des plus grands camps d’entrainement. Les troupes récupérées ont porté et transmis l’infection à des soldats sains sur les champs de bataille d’Europe. Le phénomène va se propager rapidement des personnes infectées à d’autres en particulier dans des environnements surpeuplés, tels que les services hospitaliers, les casernes, les transports de troupes.

9000 personnes seront autopsiées, prouvant que la grippe de 1918 n’était pas une grippe. D’après les cultures réalisées sur ces autopsies, c’est la « bactérie pneumonia » qui aura tué au moins 92,7% d’entre eux. Lorsque la première guerre mondiale s’est terminée le 11 novembre 1918, les soldats sont rentrés chez eux, propageant la « pneumonia bactérienne meurtrière » dans le monde entier.

Un document a identifié le vaccin expérimental contre la «méningite bactérienne » comme principal coupable. Il y est écrit que « seuls ceux qui ont été vaccinés ont péri ». 2 millions de soldats américains ont reçu le vaccin expérimental de Rockefeller.

C’était « pour affaiblir leur système immunitaire » avant qu’ils ne soient envoyés en Europe. Et lorsque la guerre a pris fin, l’institut Rockefeller a envoyé la « concoction mortelle » de la méningite pour qu’elle soit utilisée chez les civils en Angleterre, en France, en Belgique, en Italie, et dans d’autres pays d’Europe occidentale, propageant ainsi l’épidémie dans le monde entier.

La décision d’expédier le vaccin mortel à l’étranger était prise alors qu’ils savaient déjà ce qu’ils faisaient. Depuis, rien n’a changé et c’est même pire.

Aux USA, entre 1983 et 2024, on est passé de 10 vaccins injectés à un enfant à 90 vaccins injectés. Parallèlement, on est passé à un cas d’autisme rare sur 10.000 en 1983 à un cas sur 32 en 2024. Traduction : 1 enfant sur 32 nait en 2024 atteint d’autisme.

Mais il est totalement interdit, sous peine de se faire traiter de complotiste, de penser faire un lien avec l’industrie de la vaccination. À noter aucun cas d’autisme chez la communauté Amish interdisant la vaccination.

Depuis les vaccinations COVID-19, aux USA, l’ancien Commandant de la formation des Navy SEAL, le Capitaine Brad Geary, a révélé l’impact catastrophique sur les troupes d’élite, affirmant que 100 recrues avaient démissionné en 72 heures.

En 2020, lorsque le virus s’est déclaré, les scientifiques se sont inquiétés. D’où vient-il ? Ils ont donc commencé à tenir des réunions secrètes. N’arrivant pas à comprendre comment cela avait pu sortir de la nature. Les mêmes qui ont déclaré en privé que le virus provenait très probablement d’un laboratoire, ont néanmoins rédigé la première version d’un document intitulé Proximal Origins of SARS COV 2 (Origines proximales du SRAS COV 2), qui affirme qu’il s’agit d’un virus naturel.

En 1917, l’occultiste et philosophe Rudolf Steiner (1861-1925), que je cite souvent, parlait déjà d’un culte des vaccins concomitant à un déclin de la spiritualité. Il écrit : « Mais tout cela vise à trouver pour finir le moyen de vacciner les corps afin que ne s’y développe pas la tendance aux idées spirituelles, et que leur vie durant les hommes ne croient qu’à l’existence de la matière que perçoivent les sens. Tout comme on vaccine contre la phtisie, on vaccinera contre la tendance à la spiritualité. »

De quoi expliquer de nos jours la faible résistance à la tyrannie sanitaire et au Reset. Les peuples abêtis et grégaires ont été anesthésiés par le consumérisme, la massification, les médias mais aussi par les vaccins. Le culte obligatoire des vaccins actuels, promu par 99% des p’tits copains de Bill Gates : les « élites mondiales » et par ce pape monstrueux, n’est certes pas fortuit.

Durant le couillonavirus, la France, l’Italie, l’Espagne, la Grèce et Chypre ont adopté les mesures parmi les plus strictes. La France fait partie des pays qui ont adopté en mars 2020 les règles de confinement les plus strictes pour lutter contre la pandémie de Covid-19, avec attestation, soumettant toute circulation de leur population à des règles sévères, contrôlées par les forces de l’ordre. Une expérience d’obéissance de masse.

Dans le même temps, les pays nordiques (Suède, Finlande, Danemark, Norvège, Pays-Bas), mais aussi la Suisse ou la Bulgarie ont adopté comme partout des mesures sanitaires (port du masque, interdiction des rassemblements, recommandation de lavage des mains, etc.), mais ont laissé les sorties totalement libres.

Résultat, en France, la fréquentation des espaces verts au printemps 2020 a diminué de moitié par rapport à l’hiver, tandis qu’au Danemark, à la même période, elle a été multipliée par deux.

Macron répètera à quatre reprises, le 16 mars 3020, dans son allocution aux Français, le fameux « Nous sommes en guerre ». En France, les autorités locales ont même durci les mesures nationales. La limitation des sorties a aussi été durcie : quatre-vingt-trois départements ont énoncé des restrictions d’accès aux lieux de nature et de détente, avec parfois une justification incongrue, comme « Le confinement, ce n’est pas les vacances ! ».

Ou avec des mentions saugrenues, comme « l’interdiction d’acheter une baguette ou un seul journal à la fois », ou encore «l’interdiction de s’assoir sur les bancs publics ». Ces différentes mesures complémentaires ont souvent conduit à rompre avec l’un des principes fondamentaux de légitimation du confinement : l’égalité de tous face aux interdits.

Cette politique a SURTOUT témoigné du manque de confiance des autorités dans la capacité des habitants à suivre la politique recommandée. Le pays sortait de la crise des « gilets jaunes » et des manifestations contre la réforme des retraites, nos gouvernants ont probablement craint une réaction hostile. En deux mois, 21 millions de personnes ont été contrôlées en France. Dans certains départements, il y a eu autant de contrôles que d’habitants adultes !

Suite ici :

Olivier

Olivier Cape

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Source : Vecteur Douceur