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🔴➡️ Gaza: Un officier de l’armée🇫🇷 démonte l’armée d’occupation israélienne 🇮🇱

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Pascal dit :

27 décembre 2023 à 11 h 47 min

A voir:

L’ALARMANTE VÉRITÉ :

LE PHYSICIEN CHRIS BUSBY RÉVÈLE LES BOMBES À NEUTRONS DESTRUCTRICES DE CHROMOSOMES UTILISÉES PAR LES ÉTATS-UNIS ET ISRAËL

Nous vous proposons aujourd’hui un reportage et une interview qui font l’effet d’une bombe et qui prouvent qu’Israël et les États-Unis utilisent des « bombes à neutrons » secrètes à Falloujah, à Gaza, au Liban et dans d’autres endroits.

Ces bombes à neutrons libèrent une vague de neutrons qui causent des dommages génétiques extrêmes, entraînant à terme un nettoyage ethnique en raison des dommages chromosomiques et de l’infertilité (ainsi que des cancers, des malformations congénitales et autres).

Cela va bien au-delà de l’uranium appauvri. Il s’agit d’armes avancées et super secrètes de destruction génétique que la Russie appelait autrefois le « mercure rouge ».

Écoutez l’intégralité du podcast et de l’interview ici.

Ou consultez la transcription partielle ici. Le voici :

Israël accusé de déployer secrètement des bombes à neutrons dans la bande de Gaza comme armes d’extermination génétique.

19/12/2023 // Mike Adams // 4,2K Views

Voici une transcription partielle de l’émission Brighteon Broadcast News du 19 décembre 2023, dans laquelle Mike Adams interviewe Christopher Busby, physicien, auteur d’articles scientifiques et enquêteur sur l’uranium appauvri et les bombes à neutrons. L’intégralité de l’émission et de l’interview se trouve sur ce lien : Brighteon.com/channels/hrreport

Bienvenue à Brighteon Broadcast News pour le mardi 19 décembre 2023. Mike Adams, merci de vous joindre à moi aujourd’hui. Il n’est pas rare d’utiliser le terme « bombe » pour décrire une nouvelle que l’on annonce. Mais aujourd’hui, nous avons une nouvelle qui fait littéralement l’effet d’une bombe, car elle concerne les bombes à neutrons et la déclaration d’un scientifique britannique, que j’ai interviewé aujourd’hui, selon laquelle Israël utilise des bombes à neutrons en ce moment même, laissant derrière lui des niveaux vérifiables d’uranium enrichi à Gaza, et que les États-Unis possèdent également cette arme, qu’ils ont utilisée à Falloujah. On prétend qu’Israël a également utilisé cette arme au Liban en 2006. Et à Gaza, les années suivantes.

Il va falloir un peu de science pour expliquer tout cela. Mais une fois que vous aurez compris ce qui a été découvert et confirmé, vous ne pourrez plus vous en passer. Restez donc à l’écoute pour l’interview de Chris Busby, qui travaille pour greenaudit.org, qui aura lieu aujourd’hui. Je vais également parler de son article le plus récent, qui vient d’être publié le 8 décembre et qui s’intitule Evidence for the use by Israel of a neutron uranium warhead in Palestine and Lebanon (Preuves de l’utilisation par Israël d’une ogive en uranium neutronique en Palestine et au Liban).

Il s’agit donc d’un sujet qui ouvre les yeux et qui a des implications mondiales considérables. Mais tout d’abord, permettez-moi d’évoquer d’autres nouvelles de dernière minute dans le monde.

Bien sûr, depuis le COVID, nous avons également été frappés par des armes biologiques. Il est très clair que quelqu’un ne veut pas que la population américaine reste viable très longtemps. Ils empoisonnent les populations avec du fluor, des pesticides, des herbicides, des produits chimiques qui modifient le sexe, du glyphosate, des métaux lourds et des vaccins depuis des décennies, juste à temps pour la vague de remplacement des immigrants illégaux qui traversent la frontière pour venir en Amérique et remplacer tous les Américains qui meurent ou qui sont poussés hors de leurs maisons à cause de l’effondrement financier à venir. Il s’agit d’un plan détaillé. Vous assistez à un plan qui se déroule en temps réel. Et l’objectif est d’abord de détruire les Américains, de les remplacer par des immigrants, puis dans la deuxième phase, d’exterminer la plupart des êtres humains sur la planète, alors qu’ils déploient les robots et les systèmes automatisés, les systèmes d’IA (Intelligence Artificielle) et ainsi de suite, dont nous avons parlé dans d’autres podcasts, mais le fluor n’est qu’une partie de cette équation.

Le Forum économique mondial veut 3,5 billions de dollars par an pour promouvoir l’agenda de la « décarbonisation ».

En parlant d’infrastructure et de démolition d’infrastructure, vous savez, le Forum économique mondial et les mondialistes veulent démolir l’infrastructure alimentaire ainsi que l’infrastructure énergétique mondiale afin de plonger les populations humaines dans la pauvreté et la famine et, en fin de compte, dans l’extermination de masse. Aujourd’hui, nous recevons un dossier de la Jordanie. Nous avons un article intitulé « Le Forum économique mondial demande 3,5 billions de dollars par an pour décarboniser la planète, atteindre le niveau zéro et restaurer la nature ».

Le Forum économique mondial veut 3,5 billions de dollars par an. Je pense que cela dépasse l’ensemble des recettes fiscales non commerciales des États-Unis d’Amérique. Du point de vue du gouvernement fédéral, les impôts fédéraux sur les particuliers représentent, je crois, entre deux et trois mille milliards par an, ou quelque chose comme ça. Ce montant est donc encore plus élevé. L’article indique que, selon un nouveau livre blanc publié mercredi par l’organisation de Davos, le FMI, en partenariat avec McKinsey and Company. Il est temps d’imprimer plus d’argent pour dévaloriser davantage la richesse de l’homme de la rue afin de poursuivre l’objectif apparemment noble de la décarbonisation.

La décarbonisation signifie bien sûr l’extermination des humains, car les êtres humains sont faits de carbone, vous êtes fait de carbone, je suis fait de carbone, tout comme vos animaux de compagnie. Et vos enfants, si vous en avez, sont tous faits de carbone, tout comme les plantes de votre jardin. La décarbonisation signifie donc l’extermination de la vie sur la planète Terre. Le rapport indique, je cite, que le monde a besoin de 3,5 billions d’investissements supplémentaires chaque année pour atteindre le niveau zéro et restaurer la nature. Qu’est-ce que le zéro net ? Cela signifie que l’on tue tellement d’êtres humains qu’il n’y a plus assez de vivants pour utiliser beaucoup d’énergie qui contribue au dioxyde de carbone dans l’atmosphère. Et n’oubliez pas que le dioxyde de carbone est une bonne chose pour l’atmosphère. Les plantes en ont besoin pour la photosynthèse. C’est ce dont les plantes ont besoin. Sans dioxyde de carbone, il n’y a pas de photosynthèse, ce qui signifie qu’il n’y a pas de cultures vivrières. Il n’y a pas d’arbres, d’herbes, de forêts tropicales, etc. Si vous éliminez le dioxyde de carbone, c’est la mort totale de la planète, mais c’est exactement ce que les mondialistes veulent faire.

De même, les fanatiques du climat qui pensent que le dioxyde de carbone est mauvais sont impatients d’essayer de s’en débarrasser. Mais dans l’article, il est dit que, selon le livre blanc, les organisations privées devraient céder leur autonomie aux gouvernements en échange d’une quantité infinie de crédits et d’une protection en cas de faillite de leur entreprise sur le marché libre. En gros, ce qu’ils font, c’est qu’ils disent que si vous êtes d’accord avec ce programme de décarbonisation, alors vous aurez accès au crédit. Et si vous n’êtes pas d’accord, vous n’aurez pas accès au crédit et bonne chance pour développer votre entreprise. C’est essentiellement de cela qu’il s’agit. Ils refusent le crédit par le biais d’une collusion avec le secteur bancaire. Ils refusent le crédit aux entreprises qui ne soutiennent pas le programme loufoque du parti pour le climat.

Toute cette phraséologie, ce mot, la décarbonisation, est utilisé 91 fois dans ce mémo du Forum mondial de l’environnement (FME). Qu’est-ce que cela signifie ? Eh bien, évidemment, ils disent que le carbone est mauvais. Le carbone est à la base de toute vie sur notre planète. Pour autant que nous le sachions, c’est la base de la vie dans le cosmos, les formes de vie basées sur le carbone sont probablement très répandues sur de nombreuses planètes, vous savez, dans notre galaxie. Maintenant, on peut dire qu’il pourrait y avoir d’autres formes de vie. Certains affirment que le silicium est en train de donner naissance à des systèmes d’intelligence artificielle, mais il s’agit là d’une autre discussion et d’un autre débat. Toute vie, telle que nous la connaissons, pour autant que nous le sachions, est une vie basée sur le carbone. Et cela inclut les plantes, les animaux, les insectes, les pollinisateurs, les baleines, les dauphins et toutes sortes de petites créatures à fourrure, ainsi que les ours polaires. Ainsi, lorsqu’ils affirment que la décarbonisation est l’objectif, ils disent que l’extermination de la vie est l’objectif. C’est très clair.

Si vous consultez le tableau complet des composés que l’on trouve dans les aliments thérapeutiques, les super-aliments et les herbes, vous constaterez que la quasi-totalité d’entre eux sont constitués de carbone. Ainsi, lorsque ces mondialistes parlent de décarbonisation, ils ne parlent pas seulement d’éliminer le dioxyde de carbone. Ils parlent d’éliminer la vie, la vie telle que nous la connaissons dans le cosmos.

Israël, uranium appauvri et bombes à neutrons

C’est parti. Très bien, passons maintenant à l’article vedette du jour, à savoir la déclaration de Christopher Busby, qui affirme qu’il existe des preuves de l’existence d’ogives à l’uranium neutronique utilisées en Palestine par Israël. Selon lui, ces ogives ont déjà été utilisées à Fallujah, ainsi qu’au Liban. Nous allons entrer dans les détails, mais plantons le décor pour que vous compreniez pourquoi c’est important.

N’oublions pas que des obus à l’uranium appauvri ont été envoyés par le Royaume-Uni aux forces ukrainiennes pour être utilisés en Ukraine. L’uranium appauvri est une forme d’uranium dont certains isotopes ont été retirés. Il a une densité très élevée et est radioactif à un niveau relativement faible. Mais surtout, lorsque les obus à l’uranium appauvri frappent des cibles, ils s’enflamment car l’uranium aérosolisé, lorsqu’il est soumis à des températures et à des pressions très élevées, de 600 à 700 degrés Celsius je crois, s’enflamme et devient une sorte de mini-bombe thermobarique. La raison pour laquelle ces bombes sont utilisées par les chars est que lorsqu’un obus à l’uranium appauvri frappe un autre char, l’uranium appauvri a la densité nécessaire pour pénétrer le blindage du char, et une fois que l’obus a pénétré le blindage, l’uranium est vaporisé ou aérosolisé. Il est pulvérisé à l’intérieur du char ennemi où il s’enflamme, créant une bombe thermobarique à l’intérieur du char, tuant instantanément tout le monde à l’intérieur, non seulement à cause de l’explosion, mais aussi à cause du feu et de la chaleur. Et comme vous l’entendrez dans la prochaine interview de Chris Busby. Le résultat est que les soldats dans les chars sont transformés en carcasses carbonisées et croustillantes.

L’uranium appauvri continue à demeurer dans la zone où il a été tiré et se retrouve en suspension dans l’air. Ces particules sont vraiment microscopiques, à l’échelle nanométrique, et elles se retrouvent en suspension dans l’air. Elles peuvent ensuite être inhalées par les gens, et c’est le cas. Lorsqu’elles sont inhalées, elles ont ce que l’on appelle des effets secondaires. Tout cela est expliqué par Chris Busby, les effets secondaires comprennent, si j’ai bien compris, le fait d’être des transducteurs du rayonnement gamma, de la désintégration, et, en fait, de le traduire en énergie photoélectrique à l’intérieur du corps, ce qui peut causer des dommages chromosomiques à un petit groupe de cellules qui sont très proches des particules d’uranium, qui sont généralement logées dans les poumons ou à d’autres endroits à l’intérieur du corps. En d’autres termes, si vous utilisez de l’uranium appauvri sur un champ de bataille, vous recouvrez ce pays de particules d’uranium appauvri en suspension dans l’air, dont certaines se déposent sur le sol, mais sont ensuite réintroduites dans l’air. Elles sont donc inhalées par les gens. Ces particules ont des effets à long terme sur la santé des populations, notamment des dommages génétiques, c’est donc une chose qu’il faut savoir sur l’uranium appauvri.

L’uranium appauvri est presque entièrement constitué d’uranium 238, qui est l’isotope naturel le plus important de l’uranium. L’uranium 238 est radioactif. Il n’est pas très radioactif, il a une demi-vie beaucoup plus longue que les autres isotopes de l’uranium, ce qui signifie qu’il émet moins d’énergie dans une période de temps donnée, mais il est radioactif. L’uranium 235 est la matière fissile généralement recherchée, ce qui signifie qu’il peut provoquer la fission. Il est utilisé pour fabriquer des armes nucléaires qui explosent et libèrent de l’énergie grâce au processus de fission atomique. Il peut également être utilisé pour fabriquer des barres de combustible nucléaire pour les centrales nucléaires, qui produisent évidemment de la chaleur et de l’électricité à partir de la conversion de la masse en énergie, mais il s’agit de l’uranium 235. L’uranium 235, si vous en avez une grande quantité et une forte concentration, est appelé uranium enrichi, l’enrichissement signifiant que vous enrichissez l’isotope U 235. Lorsque l’on enrichit de l’uranium, on rejette de l’uranium non 235, qui est généralement, comme je l’ai dit, de l’uranium 238. Ce matériau 238 est appelé uranium appauvri. Et c’est ce matériau qui est utilisé par l’armée pour fabriquer ces systèmes d’armes ou ces obus en particulier qui sont tirés sur les chars ennemis comme je viens de le décrire. Voilà donc la différence entre l’uranium appauvri et l’uranium enrichi.

Il est important de comprendre que l’on ne devrait pas trouver d’uranium enrichi dans des endroits comme Fallujah, le Liban ou Gaza, à moins que quelqu’un n’utilise un système d’armement produisant de l’uranium 235 comme sous-produit de l’arme. Or, le simple fait de tirer des obus à l’uranium appauvri à Gaza, qui se compose d’uranium 238, ne produirait pas d’uranium 235. Ainsi, ce que vous allez entendre en lisant l’étude de Chris Busby, ainsi que son interview, c’est qu’il est impossible que des niveaux beaucoup plus élevés d’uranium 235 soient causés par la simple utilisation d’armes à l’uranium appauvri, qui ne produiraient que de l’uranium 238 sur le champ de bataille. Or, ce que l’on trouve à Gaza et dans d’autres endroits, c’est un taux d’uranium 235 beaucoup plus élevé que la normale. Et quand je dis normal, je fais référence à ce que l’on appelle les taux isotopiques naturels. Ainsi, si vous creusez un tas de terre dans votre jardin, vous obtiendrez une petite quantité d’uranium. Pour chaque kilogramme de terre que vous déterrez, je pense qu’il y a environ un kilogramme d’uranium. Je pense qu’il y a environ un ou deux milligrammes d’uranium dans chaque kilogramme de terre, en général, en moyenne, c’est une quantité relativement faible. Cependant, si vous prenez cet uranium et que vous le décomposez en proportion isotopique, vous obtiendrez principalement de l’uranium 238, un peu d’uranium 235 et une quantité encore plus faible d’uranium 234. Ces taux sont connus sous le nom de taux isotopiques naturels. Bien entendu, de nombreux autres éléments, mais pas tous, ont également d’autres taux isotopiques naturels. C’est le cas, par exemple, du plomb. Si vous regardez les isotopes du plomb, 208, 207 et 206 sont les trois isotopes les plus courants. Je sais que dans notre laboratoire, lorsque nous effectuons des analyses ICPMS sur le plomb, nous examinons généralement le 206, et parfois le 208. En tant que scientifique de l’alimentation, il arrive que l’on doive choisir un isotope pour des raisons que l’on n’imagine pas, et nous choisissons parfois le 206. C’est parce qu’il peut y avoir des interférences isotopiques basées sur… (des ions doublement chargés) …

L’émission complète se poursuit, une fois mise en ligne, à l’adresse suivante : Brighteon.com/channels/hrreport

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