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Le parquet de Saint-Nazaire a ouvert une enquête confiée à l’IGPN, la police des polices, afin « de contextualiser » le suicide de cette major de police avec son arme de service sur son lieu de travail, lundi 13 janvier.
Le drame s’est déroulé dans les locaux du commissariat le 13 janvier. Le parquet a ouvert une enquête confiée à l’inspection générale de la police nationale. | OUEST-FRANCE
Le suicide d’une major de police, de 52 ans, Marielle Macquet, avec son arme de service lundi 13 janvier, le matin, dans un vestiaire du commissariat de Saint-Nazaire, a suscité un vif émoi. Il a conduit ses amis proches à initier, avec l’aval de la famille, un hommage public, samedi 18 janvier, à 9 h 50, à Saint-Marc « où les participants, quelle que soit leur qualité, doivent être en civil » , appuient les organisateurs.Ce jeudi 16 janvier, la procureure de Saint-Nazaire, Sylvie Canovas-Lagarde indique avoir ouvert une enquête, confiée à l’Inspection générale de la police nationale (IGPN). « J’ai estimé que le fait qu’une fonctionnaire de police se donne la mort au commissariat avec son arme de service nécessitait que l’on contextualise les circonstances » , indique la magistrate.« L’enquête de l’IGPN est importante pour comprendre ce qui a poussé notre collègue à se suicider. Cela peut relever de difficultés au sein du commissariat », affirme une source policière.
« L’IGPN est saisie par principe de tous les suicides qui ont lieu dans les locaux de police. C’est une règle non-écrite, mais bien ancrée » , affirme-t-on au Service d’information et de communication de la police nationale.
Source : Ouest-France
Note de la rédaction de Profession-Gendarme – Mentionnons que nous avons rapporté ce suicide ici sous l’article suivant : Saint-Nazaire : une policière de 52 ans se suicide au commissariat
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