Limiter la diffusion d’images des forces de l’ordre : une idée liberticide

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7 novembre 2020 par Régis Ollivier

Si la proposition de loi est adoptée, le fait « de diffuser par quelque moyen que ce soit et quel qu’en soit le support, dans le but qu’il soit porté atteinte à son intégrité physique ou psychique, l’image du visage ou tout autre élément d’identification d’un fonctionnaire de la police nationale ou d’un militaire de la gendarmerie nationale lorsqu’il agit dans le cadre d’une opération de police » sera puni d’un an de prison et de 45 000 euros d’amende.

Dans le contexte de restrictions des libertés lié à la crise sanitaire, cet amendement n’est-il pas préoccupant ? Est-il prévu de mettre un couvercle définitif sur les violences policières ? Nos libertés civiles sont-elles en danger ? Une loi ne doit jamais être votée pour obéir à l’urgence de l’actualité. Encore moins suivre une tendance générale comme en témoigne ces jours-ci l’intitulé lui-même de cette proposition de loi de « sécurité globale ».

Source : Au gré de mes humeurs

« L’obligation de subir nous donne le droit de savoir » Jean Rostand

Loup dit :

8 novembre 2020 à 17 h 42 min

Bonjour à vous,

Des tyrans illégitimes ont pris le pouvoir en France.

Une fois ce constat posé, on remarque encore que des personnes des forces de l’ordre appliquent les consignes de la tyrannie et participent à terroriser le peuple de France, à lui retirer toutes ses libertés et à mettre en faillite économique notre pays.

J’ai vu des vidéos de personnes en larme parce que ces forces de l’ordre ferment leur commerce et qu’elles ne peuvent plus gagner leur vie et donc payer leurs factures.

La tyrannie doit cesser au plus vite, car plus elle durera, plus les blessures qu’elle infligera seront profondes et plus il sera difficile de relever notre pays. C’est une très lourde facture que nous laisserons à nos enfants et cela nous rendra tous coupables vis à vis d’eux.

Je demande donc à toutes ces personnes de bien comprendre que ce sont elles qui empêchent ce régime de tomber.
Je répète : ce sont vous les forces de l’ordre qui permettaient à ce pouvoir de se maintenir en place et de faire autant de mal autour de lui.

La plupart des français souffrent, veulent reprendre leurs libertés et sortir de cette tyrannie, mais vous leur faites peur, avec vos amendes, vos menaces et votre attitude répressive.

Je suppose que vous ne vous êtes pas engagés pour faire peur au peuple, alors j’appelle à votre bon sens et à votre intelligence :
C’est vous qui êtes positionnés devant la porte de notre prison, faites un pas de côté et le peuple pourra reprendre ses libertés, comme on le voit par exemple en Italie, où dans certaines villes tout le monde est dehors.

Je sais que ce que je vous demande n’est pas facile, que vous avez peur, vous aussi, de perdre votre emploi et votre place, mais le pays est déjà économiquement détruit et nous n’aurons pas de place dans le monde qu’ils veulent nous imposer, croyez moi, ni vous, ni moi, ni nos enfants n’auront de place dans leur monde.
Nous sommes donc tous comme vous en réalité, les restateurs sont comme vous, les hoteliers sont comme vous, les médecins sont comme vous, les soignants sont comme vous, les petits commerces sont comme vous : au pied du mur et obligés de réagir et de choisir un camp : celui du peuple ou celui des tyrans.

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