Le général SOUBELET, n° 3 de la Gendarmerie s’exprime (1er septembre 2014)
Le 18 décembre 2013, le général Soubelet est auditionné à l’Assemblée nationale par la mission parlementaire d’information de « lutte contre l’insécurité » présidée par le député socialiste Jean-Pierre Blazy. Comme toutes les personnes auditionnées, il prête serment de dire « la vérité, toute la vérité, rien que la vérité».
Le général Soubelet, numéro 3 de la Gendarmerie Nationale, s’exprimait mettant en lumière les difficultés quotidiennes de la gendarmerie pour lutter contre la délinquance en évoquant celles de la justice avec une grille de lecture sans concession.
Sous la pression politique, il est alors muté, puis, une fois mis à l’écart de la scène publique, perd ses fonctions.
Le 1er septembre 2014, suite à son audition à l’Assemblée Nationale sur l’insécurité et de son constat sur la lutte contre la délinquance qu’il juge « incohérente » et « inadaptée » depuis de nombreuses années le Général Soubelet est sanctionné en étant affecté à la tête de la gendarmerie d’Outre-mer.
Le 24 avril 2016, un mois après la parution chez Plon de son livre « Tout ce qu’il ne faut pas dire« , il perd son affectation de commandant de la gendarmerie d‘outre-mer.
En septembre 2017, le Général Bertrand Soubelet devient vice-président du mouvement Objectif France.
N’oublions pas que 18 décembre 2013, le général Soubelet, ne pouvait que, soit dire la vérité soit mentir.
Étant sous serment il a choisit la VÉRITÉ, ce qui est tout à son honneur.
Malheureusement cette attitude droite et honnête lui valu le courroux des politiques…
Gendarmerie ! Diffuser le plus largement possible..si ce n’est trop tard?!! La vérité qui dérange ….Merci MON GÉNÉRAL !!!
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