Executive action : le coup d’état permanent du 4ème Reich
« Ceux qui cherchent à établir des systèmes de gouvernement fondés sur une discipline excessive appliquée à l’ensemble des êtres humains par une poignée de dirigeants isolés… appellent cela ‘ordre nouveau’. Ce n’est pas de l’ordre et ça n’a rien de nouveau » (Mur du Mémorial en l’honneur de Franklin D. Roosevelt)
« La seule chose que nous devons craindre, c’est la peur elle-même » (FDR, 32ème président des États-Unis)
Partie I – Dark Shadow
Déjà en 1848, Marx et Engels dans le manifeste du Parti communiste écrivaient « Un spectre hante l’Europe, le spectre du communisme« .
En effet, depuis la deuxième moitié du 19ème siècle, les forces du mal mirent en place tout un ensemble d’idéologies scientifiques et philosophiques ayant vocation à éloigner l’homme de Dieu, le déraciner de ses valeurs et rompre ainsi l’alliance sacrée. L’homme commenca petit à petit à devenir étranger des sciences exactes et des lois naturelles qui lui permettaient de réellement comprendre les lois de Dieu.
A la face du monde (Congrès d’Erfurt ou Congrès de Venise fin 19ème), ces forces obscurantistes mirent en place le terreau favorable à la gouvernance mondiale à venir qui devait passer par l’instauration du socialisme en Europe, soit un socialisme militariste (le communisme) s’opposant à un socialisme financiariste (le capitalisme).
Adjacent à Big Brother, spectre qui hante le monde depuis 1949, la finalité décidée du 4ème Reich est l’instauration d’un Nouvel Ordre Mondial sous le règne d’un leader charismatique, l’antechrist prophétisé.
Afin de mener à bien cet objectif et contourner les mécanismes de défenses des peuples, ils le manipulent. De manière générale, les peuples sont victimes d’une destruction de leurs cultures nationales au profit de l’idéologie républicaine des « Lumières ».
Plus ou moins masqués, et petit à petit, ils déracinent les nations de leurs frontières. D’abord par la décolonisation qui entraîna la naissance du Tiers-Monde, et en second lieu par la construction de l’Union européenne qui aliéna les peuples européens de leur souveraineté. La décolonisation rendit au peuple opprimé par le joug occidental leur liberté (le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes) mais engendra l’appauvrissement de ces territoires à l’origine d’un nouvel ordre géopolitique dans lequel la pauvreté est endémique. Puis après deux guerres mondiales, le Traité de Rome en 1957 pour une Europe à six supprima les frontières, les barrières douanières et instaura le serpent monétaire européen qui interdit d’office toute politique migratoire, économique, industrielle, agricole libre. Petit à petit, les nations sont sous la tutelle de Bruxelles puis de l’Allemagne inféodé au 4ème Reich.
Au travers de la construction européenne, on asphyxie les nations en appliquant une politique austeritaire. On instaure au compte goutte, insidieusement, un régime totalitaire de transition de manière imperceptible. Ainsi le pouvoir décisionnel, exécutif, judiciaire et législatif des représentants des États membres est transféré, voir supprimé au profit d’un diktat de haut fonctionnaires européens non élus, technocrates ayant tout pouvoir sur la destinée des peuples européens.
Ces eurocrates aux postes clefs de la Comission européenne légifèrent, décident et agissent contre l’intérêt des peuples européens en suivant un agenda précis et planifié à l’avance. Tous, sans exception, sont nommés et constituent l’ossature de la partie visible du 4ème Reich, noblesse noire, qui a réussi à unifier sous un régime totalitaire unique l’Europe des 27 là où le 3ème Reich avait échoué.
Décidé dans les coulisses du pouvoir, sans les peuples, l’Europe libérale qu’ils ont créés leur permettent de contrôler les peuples d’une domination austeritaire marqué par un délitement déshumanisant qui s’accentue de plus en plus au travers de la crise sanitaire actuelle.
La finalité de cet internationale noire étant l’instauration d’un règne totalitaire antichristique, les différentes institutions européennes tracent le sillon d’un socialisme totalitaire militaro-financiariste, national-socialiste, propagée à l’ensemble de l’Europe sous l’égide d’une religion mondiale imposée à tous, l’Islam.
Partie II – Underground
Ils utilisent des stratégies inspirées du machiavélisme et des techniques de contrôle social, elles-mêmes dérivées des techniques nazies du 3ème Reich reprises et améliorées par l’Institut Tavistock de Londres ou par des techniques MK Ultra mises au point par la CIA.
Parmis ces stratégies, citons celles de contrôle social, d’ingénierie social, des stratégies de tensions et des stratégies de terreur.
Si vous souhaitez comprendre comment ces dernières s’articulent, pensez comme eux et demandez-vous comment on programme des peurs de façon collective, comment on peut transformer une société pour mener à bien son projet.
Créez une problématique sociale en secret, sans en alerter l’opinion publique. Il peut s’agir d’une attaque terroriste, d’une crise financière, d’une épidémie, d’une guerre civile, d’une révolution ou de toute chose adaptée aux changements que vous voulez mettre en oeuvre.
Détournez l’attention en accusant quelqu’un d’autre ou un organisme ciblé de ce que vous avez vous-même provoqué. Si vous voulez justifier une guerre mondiale contre le terrorisme, ce qui vous permet entre autre de soutirer les ressources d’un pays ciblé et de faire tomber quelques dirigeants par la même occasion, orchestrez une attaque significative comme celle du 11 septembre 2001.
Enfin diabolisez ceux que vous accuserez à tort en créant un champ sémantique approprié. Faites appel à des concepts comme l’axe du mal (terrorisme), le CO2 (réchauffement climatique) ou le coronavirus (crise sanitaire).
La stratégie de la distraction leur permet de détourner l’attention du public des mutations importantes décidées par les élites politico-économiques par un flot de distractions et d’informations insignifiantes.
On peut citer à titre d’exemples, les jeux vidéos, le football, les émissions de télévision qui permettent d’endormir la population et de la distraire afin qu’elle ne s’occupe pas de ce qui est véritablement important.
Après avoir endormi la population, on leur prive tout sens critique. C’est ainsi que des publicités et des discours médiatiques sont utilisées usant d’un ton infantilisant afin d’infantiliser le peuple. Ainsi par exemple, on leur dira que sans énergies fossiles et sans nucléaire, il va pouvoir vivre dans un monde de partage, d’amour et d’eau fraîche grâce à la transition énergétique. On les séduits en leur faisant croire que le Père-Noël existe. On recours à leur sens émotionnel tout en court-circuitant leur analyse rationnelle de réflexion.
On vise l’émotionnel des individus afin d’accéder à leur inconscient, pour y implanter des idées, des désirs et des peurs.
En parallèle, on les désinforme. Un public culpabilisé et ignorant est contrôlable, ce que démontre des siècles de conditionnement psychologique par la noblesse et le clergé.
Élus, scientifiques, journalistes, tout comme le public, sont pour la grande majorité très ignorants des techniques d’ingénierie sociale utilisées par les services de renseignement et des techniques de désinformation utilisées par les agences militaires.
Élément d’ingénierie sociale, la stratégie PRS (‘problème-réaction-solution’) consiste à créer une problématique sociale ou à laisser se détériorer une situation politique qui suscitera une réaction populaire dans un premier temps. Ce qui permet par la suite d’adapter les mesures pour faire passer la solution voulue par les créateurs de cette problématique.
On programme et on instrumentalise le peuple pour qu’il soit lui-même demandeur des mesures qu’on souhaite lui imposer.
Par exemple, les prisons sont saturées on le sait, mais comme construire des prisons donne une mauvaise image, on fait appel à quelques reportages bien ficelés qui montrent la promiscuité intolérable des prisonniers afin de susciter une réaction d’indignation de la population. Une fois l’annonce de nouvelles constructions humanitaires, le public applaudira en conséquence.
On peut aussi laisser se développer un désordre social inacceptable comme la violence urbaine, afin que la vox populi soit demandeuse de moyens supplémentaires pour renforcer les forces de l’ordre, premières victimes. Le public n’accepte le changement que lorsqu’il y est contraint ou ému et, lorsqu’il le demande.
Pour faire accepter les mesures inacceptables, on applique des mesures progressives par paliers successifs sur une longue durée. On contourne les défenses et les habitudes du peuple par des mesures socio-économiques nouvelles et conditionnantes. Et une fois mûr le peuple se voit supprimer ses avantages acquis.
On crée et on présente des situations de la vie quotidienne qui permettent de faire accepter des mesures douloureuses comme un mal nécessaire. Le peuple bien docile acceptera toujours plus facilement un sacrifice futur qu’un sacrifice immédiat puisque dans sa naïveté, il a tendance à espérer naïvement que tout ira mieux demain ou que le sacrifice demandé puisse être évité, tout en s’habituant à l’idée du changement.
Par divers discours, on stimule l’hémisphère gauche ainsi que le cerveau reptilien primitif par un choc émotionnel par exemple au travers de mensonges officiels, des accusations fausses et propagés par les médias de masse. Ainsi les émotions engendrées, les mécanismes de défense et de survie, permettront tout naturellement la soumission à l’idéologie politique. Les réactions exprimées se maintiendront en vie en attendant qu’une solution nuancée ou modérée soit proposée. Vous n’aurez plus qu’à l’acquiescer et ainsi partager un bloc idéologique partagée par toute la population occidentale.
Partie III – Executive action Opération Covid
L’objectif planifié du 4ème Reich étant de déshumaniser les gens, le port du masque participe de la destruction de tout lien entre les gens. Ainsi on maintient les gens dans un état d’esclavage absolu par ce qu’on appelle dans les services de renseignement un contrôle actif permanent de stress. En d’autres termes, un régime de terreur.
L’opération Covid est un exemple d’ingénierie sociale de type PRS. On profite d’une occasion unique – l’accident involontaire du Covid-19 de Wuhan issu d’un laboratoire militaire franco-chinois – la propagation d’un virus qui par ailleurs n’existe pas, on amplifie l’ampleur de la progression de manière internationale – on décrète un état d’épidemie mondiale – pour obtenir une réaction plus faible de l’ordre de 60%.
Suite à l’arrêt du confinement, on garde les mesures barrières, on impose le port du masque, on prône à l’arbitraire des zones de contamination à augmentation exponentielle et on impose des mesures extrêmes dont ils savent qu’elles ne seront pas crues. On censure les médecins qui disent la vérité sur l’amplification des tests PCR et sur l’inexistence du virus à l’heure actuelle, et on laisse parler ceux faussement résistants mais qui ne remettent en aucun cas l’existence de l’épidémie et qui par contre vendent une épidémie modérée.
On crée une hydre qu’on fait passer pour quelque chose de très grave, on classe tous les accidentés qui arrivent aux urgences comme Covid afin d’alerter l’opinion publique qu’il y a bien une reprise de l’épidémie, une deuxième vague. Bien évidement la réaction immédiate du peuple ne peut etre maintenue, et ça ils le savent et c’est ce qu’ils veulent, ce qui permet d’adapter les mesures pour faire passer les réformes voulues dans un caractère plus nuancé.
Face à la vindict populaire, on instaure une dictature molle – réel but – avec des mesures liberticides, illégales au nom du Droit privé.
A l’image des SA nazies, les commerçants et les entreprises participent du mensonge mondial et imposent le port du masque ou imposent les tests PCR à leurs employés ce de manière illégale puisque ce qui est médical ne relève pas de leur statut. Au lieu d’agir en toute légalité, en faisant appel aux forces de l’ordre, ils font appel à des gardes privés, souvent extrêmement violents, qui n’ont aucune autorité pour imposer le port du masque. En effet, il est utile de rappeler que le port du masque ne relève pas du droit privé mais du droit pénal et constitutionnel. A ce titre, aucun garde privé ou vigile n’a autorité pour vous imposer le port du masque, c’est même un crime de contraindre quelqu’un contre son gré. D’autant plus que ces vigiles, SA des temps modernes, abusent de leurs fonction de manière arbitraire.
A l’œuvre, ce Nouvel Ordre Mondial divise les peuples au nom de la santé et non plus au nom de la pureté raciale comme chez les nazis ou au nom de la victoire du prolétariat comme chez les soviétiques.
Au nom de la santé, ce Nouvel Ordre Mondial (Big Mother) plane sur la vague de ce totalitarisme mou tout en imposant son système de contrôle étatique généralisé auquel participe la population mondiale par la géolocalisation, la surveillance généralisée, le contrôle social, le port du masque et la délation. Tout comme le petit enfant se glisse dans les jupons de sa maman, l’individu se réfugie derrière son masque.
Au nom du principe de précaution, quelqu’un parmis les plus prosélytes peut aller à votre rencontre dans une pièce ou dans la rue pour vous sermonner car vous ne portez pas le masque ou vous le portez incorrectement.
La vraie victoire du 4ème Reich n’est pas tant dans la technique mais dans cette pulsion collaborationiste auquel de plus en plus de gens participent et y trouvent une satisfaction d’ordre moral. Pensant faire le bien, ils dénoncent, jugent, catégorisent. Comment ne pas y voir là les traces de l’époque soviétique où les indicateurs dénonçaient au NKVD les anti-soviétiques. Ces personnes devraient lire La servitude volontaire de La Boétie, qui explique que ce système ne tient que par la collaboration active et jouissive du peuple.
Et ce qui est dramatique, c’est qu’à l’époque actuelle où le lien social est délité ces gens-là se donnent du lien, prônent un vivre ensemble asservi et étrangement une forme d’intensité social perverse.
Récemment de manière concertée, car chaque action du 4ème Reich est activée à l’échelle internationale, l’Allemagne, la Belgique et la France, dans l’ordre d’instauration de leur plan, ont décidé de renforcer leur système en appliquant un aménagement souple du port du masque. Il suffit de lire les textes de loi pour s’en rendre compte. On pourrait aussi citer la Corée, la Chine, l’Australie ou la Nouvelle Zélande. Comme le dit Q leur volonté de symbolisme et d’uniformité les perdra. Et c’est cela qui permet de reconnaître et de démasquer les agents du 4ème Reich.
Ces êtres immondes sont des êtres sans âme c’est-à-dire sans créativité, ils ne peuvent faire autrement, ils font tous la même chose.
Leur stratégie consiste à faire croire l’inverse, par exemple que le port du masque n’est plus obligatoire à partir du 1er octobre en Belgique, mais en réalité ils renforcent par là leur système en instaurant un état de pandémie permanent sorte de loi martiale permanente. Le port du masque n’est plus tout le temps obligatoire, on y renonce pas définitivement comme en Suède, mais on fait un aménagement et ce pour une durée indéterminée. On impose un port du masque à géométrie variable qui dépendra des lieux, des situations et des circonstances. Il y aura des moments où on peut le porter et des moments où l’on pourra ne plus le porter.
En réalité, ce qu’il se passe est très grave.
Et c’est là le plan du 4ème Reich européen.
Pour le rappel historique, il y a plus de 70 ans les lois nazies de Nuremberg avaient étés mises en place d’une manière similaire. Les nazis avaient introduits des lois fascistes qui perduraient toute l’année et non seulement quand des révoltes apparaissaient.
Et cela, le gouvernement français est en train de le faire. Au nom de la santé publique, au nom du principe de précaution, on met en place un régime fasciste où l’on viole allègrement toutes les règles et la Constitution et ainsi on crée un ordre nouveau sanitaire.
L’Humanité, trompée, au tournant de son existence a un choix à faire, prendre conscience des forces du bien et du mal qui régissent ce monde et se réveiller avant qu’il ne soit trop tard.
Cordialement,
Source : Clearlook.
Clearlook Where we go one, we go all – Clearlook Où nous allons un, nous allons tous
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