Vous êtes ici: Accueil › Textes règlementaires › Dialogue ’interne’ dans la gendarmerie Circ. 16 juill. 2013, dialogue interne des militaires de la gendarmerie nationale.

Dialogue ’interne’ dans la gendarmerie Circ. 16 juill. 2013, dialogue interne des militaires de la gendarmerie nationale.

Vue(s) : 879

Je ne ferai aucun commentaire sur la circulaire dont il est question. Il appartient à chaque Gendarme de la lire et de l’analyser.

il s’agit de faire état aussi bien des obligations découlant du statut des militaires que d’une écoute toute relative des revendications, plus ou moins feutrées,

L’analyse qu’en fait Geneviève Koubi, sur le site « Droit cri-TIC » se suffit largement à elle même.

La définition de ce dialogue interne est alors signifiée dès le préambule en une langue littéraire bien éloigné des diatribes militaires classiques.

derrière ces formules, d’emblée, il est possible de repérer une attention envers les formes hiérarchiques de l’obéissance et une demande de responsabilisation à l’adresse des subordonnés.

Telle est d’ailleurs la première visée de cette circulaire : la hiérarchie est renforcée, l’obéissance est exigée

En clair Messieurs : « Fermez vos gueules !!! » ceci me ramène sur un autre de mes textes….

Ronald Guillaumont

Source : Droit cri-TIC

10 Réponse(s) à "Dialogue ’interne’ dans la gendarmerie Circ. 16 juill. 2013, dialogue interne des militaires de la gendarmerie nationale."

Analyse critique de la Circ. du 16 juillet 2013 ayant trait au dialogue interne dans la Gendarmerie dit :

27 mars 2014 à 15 h 48 min

[…] mémoire j’avais déjà publié ICI un article concernant cette circulaire. Cette article avait également fait l’objet de […]

Répondre
carnavon dit :

29 octobre 2013 à 19 h 07 min

Cher monsieur Guillaumont,

Vous avez raison, nous ne sommes pas bien différents, puisque nous aimons cette Institution. C’est sur la manière de déclarer notre amour à cette vénérable dame que nous divergeons quelque peu…. Nous n’allons pas nous fâcher pour des questions de style non ?
Pour revenir sur nos poilus, je n’oserais jamais amalgamer ceux qui ont craqué, abrutis par cet abominable conflit et ceux qui ont refusé d’exécuter les ordres reçus, en particulier au moment des troubles politiques russes.
Mes pensées vont bien entendu aux victimes et je serais bien cynique de porter un jugement définitif 1 siècle après les faits, moi un enfant du baby boom qui n’a fort heureusement jamais connu la guerre !
Je reviendrai dans un autre « post » sur certains points et de façon moins consensuelle un peu plus tard. Profitons tous deux de cet armistice ! :))

Très amicalement,

C.

Répondre
carnavon dit :

27 octobre 2013 à 17 h 56 min

Je vous remercie monsieur Guillaumont de vous interroger sur mes interventions. Car en dehors des miennes, on se sent bien seul sur ce forum.
Et je vous sais gré également de laisser exprimer un point de vue aux antipodes du vôtre, et de toux ceux qui viennent se repaître de ce cadavre qui met 8 siècles à se décomposer.
Je suis à mon humble niveau, le gardien du Temple, celui qui vous a nourri toute votre existence et dont le manteau de pierre est à l’abri de vos coups de canif.
Vous me rappelez étrangement ces vieux soldats qui déversaient naguère dans « lEssor », une fois à la retraite, leurs veilles haines recuites, en se gardant bien d’évoquer leur stupéfiante impuissance durant leur activité et leur coupable mutisme.
En ce qui me concerne , j’ai fait un choix diamétralement opposé. J’ai décidé de SERVIR. En choisissant le métiers des armes j’ai également accepté « volontairement » de taire mes rancœurs et mes états d’état d’âme pour le plus grand bien de l’Institution.

Puisque vous aimez les citations, en voilà une de R. Quinton, lieutenant colonel, héros de 14/18 :

« La nature a donné l’ordre à chaque être de défendre sa propre cause jusqu’à la mort ou au triomphe. Qui ne défend point sa cause trahit. Qui se renie ou s’abandonne à autrui, trahit. »

C.

Répondre
1. Ronald Guillaumont dit :
  
  27 octobre 2013 à 21 h 57 min
  
  Contrairement à ce que vous semblez croire Monsieur Carnavon, le site Profession-Gendarme.com n’est pas un forum de discussion comme beaucoup d’autres forums
  où les gens finissent par s’invectiver.
  
  Profession-Gendarme est un site d’information ou chacun est libre de commenter les différents articles qui y sont publiés et d’exprimer ses idées ou ses opinions. La preuve c’est que vous pouvez commenter librement…
  
  Ici c’est la liberté d’expression qui prime et chacun est libre d’argumenter ou de contre argumenter des idées ou des opinions. Cela s’appelle le dialogue et dans tout dialogue il y a nécessairement enrichissement réciproque.
  
  Si je m’interroge sur vos interventions c’est par ce que vous n’apportez aucune argumentation à part que pour vous « le devoir de réserve » des militaires se doit d’être un devoir de docilité.
  
  «… ce cadavre qui met 8 siècles à se décomposer… » Je ne partage pas du tout la vision que vous avez de la Gendarmerie Nationale.
  Bien au contraire je défends celle-ci et je souhaite n’être jamais « le gardien du Temple » et qu’il n’y ait point de « manteau de pierre ». Après 8 siècles d’existence je souhaite encore une longue vie à Notre Gendarmerie.
  
  En ce qui concerne la suite de votre commentaire, je constate que « vous avez « volontairement » fait taire vos rancœurs et vos états d’âmes ». Vous reconnaissez ainsi avoir des rancœurs.
  
  Contrairement à vous je ne porterai pas de jugement sur la personne mais sur le choix que vous avez fait. En effet « Servir » la Gendarmerie c’est la faire évoluer afin qu’elle soit en adéquation avec notre siècle car « celui qui n’avance pas recule ».
  
  « leur stupéfiante impuissance durant leur activité et leur coupable mutisme ». Sur ce point je vous rejoins totalement Mr Carnavon, il est vrai que par « leur coupable mutisme » les actifs font preuve de leur stupéfiante impuissance. Mais croyez bien que cela va changer.
  
  Cordialement
  Ronald Guillaumont
  
  Répondre
  1. carnavon dit :
    
    27 octobre 2013 à 23 h 28 min
    
    « Le cadavre » est une métaphore que vous prenez au 1er degré, alors que mon propos fustige justement ceux qui se repaissent de ses chairs ! mais laissons de côté cette licence poétique puisque vous semblez incarner « la gendarmerie qui avance » !
    Au-delà de mon amusement à bavarder avec vous, je m’interroge sur votre conception de l’institution militaire et surtout ce qui vous pousse à combattre avec acharnement tout statu quo. Vous avez tord de penser que cette vénérable Maison se soit figée pour les siècles des siècles. Elle a évolué avec son époque, au prix parfois de renoncements démocratiques indignes, car l’Armée, si elle est la Nation, n’est pas une démocratie !
    Vous devez trépigner derrière votre écran, animé de cette danse de Saint Guy syndicale qui depuis 1989 fait vaciller notre vieille bâtisse. En quoi participez-vous, monsieur Guillaumont, à l’épanouissement du gendarme en dehors des quelques saillies littéraires argotiques que vous distillez, procédé éculés qu’il est si aisé d’utiliser lorsqu’on profite confortablement de sa pension ! non ?
    Des rancœurs j’en ai en effet, mais elles sont aux antipodes de celles que vous imaginez. C’est l’impuissance à laver toutes ces vomissures qui ternissent la Gendarmerie, institution militaire à qui je dois tout. Mon père était commandant de brigade, ma soeur gendarme et je me fais un point d’honneur de défendre une Arme trop souvent déshonorée dans des articles au vitriol, des propos venimeux, et cette tendance mortifère de tous ces révolutionnaires en pantoufles, qui font la guerre depuis leur sofa !
    Le combat déloyal qui est mené dessert l’action de ces représentants de la concertation que vous vilipendez articles après articles. Ceux sont ceux qui se sont vautrés dans le déni de justice et dans la soumission imbécile pendant 2 siècles qui viennent faire la leçon aux admirables instances représentatives, en agitant leurs petits poings syndicaux et en instillant dans les esprits retords les ferments de la révolte !
    Cette Maison finira par devenir ingouvernable à cause de tous ces stupides « aménagements démocratiques » qui sont autant de signes de faiblesse que d’aveux de défaites à venir.
    La jeune génération doit se goberger en lisant toute cette prose révolutionnaire, les simples d’esprit se prennent pour Malatesta ou Kropotkine en éructant contre la hiérarchie ! Ils viennent puiser dans le marigot leur détestation du système, mais sont fort heureusement trop bêtes pour l’aménager….
    Vous vous plaignez de ne pas lire sous ma plume, de propositions concrètes. Que voulez vous exactement ? que je commente vos brèves, vos rubriques « gag au CORG » ? Permettez moi monsieur Guillaumont de réserver mes propositions à mes chefs et non à ces nouveaux spectateurs des jeux du cirque à qui vous ouvrez vos arènes….
    
    PS je m’inclus bien évidemment dans le lot, puisque vous me donnez la liberté de m’exprimer sur votre site, ce dont je vous remercie au passage.
    
    Cordialement….
    
    Répondre
    1. Ronald Guillaumont dit :
      
      28 octobre 2013 à 1 h 11 min
      
      Cher Monsieur, pour reprendre votre Post Scriptum, je vous confirme évidemment que vous avez ici la liberté de vous exprimer.
      
      « Elle (l’institution militaire) a évolué avec son époque, au prix parfois de renoncements démocratiques indignes, car l’Armée, si elle est la Nation, n’est pas une démocratie ! »
      Je tiens à vous remercier d’éclairer nos lecteurs sur votre conception idéale de l’institution militaire. Par cette conception, ce n’est pas une guerre mais deux guerres de retards que vous avez. En 14/18 il est certain qu’avec vos idées vous auriez sûrement eu une place prépondérante auprès des tribunaux militaires d’exceptions ayant fait tant de fusillés « pour l’exemple ».
      
      « C’est l’impuissance à laver toutes ces vomissures qui ternissent la Gendarmerie, institution militaire à qui je dois tout. »
      Quand aux « vomissures » qui ternissent la Gendarmerie et l’institution militaire, en me prenant pour cible de cette façon, je crois que vous vous trompez de cible…
      
      lisez donc mes articles :
      – Métier des armes : une porte se ferme http://www.profession-gendarme.com/metier-des-armes-une-porte-se-ferme/
      Du Général d’Armée (2s) Henri Bentégeat et du Lieutenant ARENE jeune St Cyrien
      
      – Devoir d’expression des militaires. Les contraintes d’une exigence http://www.profession-gendarme.com/devoir-dexpression-des-militaires-les-contraintes-dune-exigence/
      Du Général (2s) François Torrès
      
      – Expression des militaires : Liberté d’expression ou devoir de réserve ? http://www.profession-gendarme.com/expression-des-militaires-liberte-dexpression-ou-devoir-de-reserve/
      Du général de brigade aérienne Sarazin publié dans la revue l’épaulette
      
      – « Un contre-pouvoir est nécessaire dans les armées ! » http://www.profession-gendarme.com/jacques-bessy-un-contre-pouvoir-est-necessaire-dans-les-armees/
      Du Colonel (e.r.) Jacques Bessy
      
      Allez dire à tous ces officiers, officiers supérieurs et officiers généraux que leurs propos ne sont que des vomissures…
      
      Sachez Monsieur, que je ne trépigne pas derrière mon écran. Au contraire je vous remercie de vos contributions « très éclairantes » mais pas du tout éclairées pour ce qui concerne notre époque. Si vous avez peur pour l’avenir de l’institution militaire Française, regardez chez nos voisins Allemands et Espagnols et vous constaterez que chez ceux-ci l’institution militaire se porte pas mal, sûrement bien mieux que chez nous en ce moment.
      
      Je terminerai en disant que je n’entrerai pas en polémique avec vous et que vous me faites trop d’honneur par vos propos trempés dans le vinaigre. Je n’ai pas les pouvoirs que vous me prêtez.
      Cordialement
      Ronald Guillaumont
      
      Répondre
      1. carnavon dit :
        
        28 octobre 2013 à 21 h 26 min
        
        Voilà que vous me prêtez des tendances de fusilleurs !
        Rassurez vous je n’utilise qu’un pistolet à bouchon, premièrement parce que malgré mon langage belliciste, je suis pacifique, et deuxièmement parce que je considère le combat libérateur que vous incarnez, comme le permis d’inhumer de la gendarmerie. Ne croyez pas que je polémique avec vous par goût des joutes oratoires, mais tout simplement par respect pour l’Arme de mes vaillants prédécesseurs, de mon père et des militaires de tout poil qui ont donné leur vie pour que nous puissions aujourd’hui, vous et moi, confronter nos opinions.
        Mes deux arrières grand pères sont tombés durant la Grande guerre, l’un à Tannenberg en août puisque sujet du Kaizer, et l’autre au chemin des dames…. J’ai de l’admiration pour nos poilus mais je ne peux pas croire un seul instant que le commandement de 17 n’ait pas analysé, lors des conseils de guerre, les causes impardonnables des trahisons et des lâchetés diverses qui conduisirent certains soldats à déserter ou à fomenter des troubles dans leurs rangs. On peut déplorer la brutalité de la méthode, mais la guerre est brutale monsieur Guillaumont !
        Le conflit qui nous oppose est d’une toute autre nature. Il s’agit de la survie d’une institution militaire. En instillant dans son mode de fonctionnement propre les toxines de la « libre parole » et du « relativisme » généralisé, vous dynamitez le socle de la forteresse. Je ne doute pas qu’avec vos innombrables « amis de la gendarmerie » vous reconstruirez sur ce champ de ruines, la belle maison que vous appelez de vos voeux ! Mais épargnez vous cet harassant labeur… votre construction existe déjà… elle s’appelle la Police Nationale.
        Qui empêchera les gouvernements futurs, une fois que vous aurez nivelé toutes les différences entre nos deux maisons, d’unifier les forces de police judiciaires et celles de maintien de l’ordre ? Un rapporteur de la commission des finances (De Montesquiou) prévoyait il y a quelques années cette éventualité, et il la chiffrait. Rien ne s’opposerait dans cette perspective à une unification, une fusion de ces deux entités en une unique « force de sécurité intérieure »….
        Je suis convaincu que vous y parviendrez, aidé de tous ces bataillons de traîne-savates qui depuis 30 ans que je suis dans ce métier honnissent la hiérarchie, vilipendent leurs chefs dans une véritable fureur pré-soviétique insupportable.
        Mais les mêmes qui en 18, tranchaient la gorge des amiraux et des généraux tsaristes, au nom de la liberté des soviets, mirent en place une armée encore plus injuste et inique que celle qu’ils prétendaient mettre ne pièce !
        
        C’est le travers des révolutionnaires, les vrais, les tueurs, les écorcheurs, les génocidaires, de vouloir le bonheur des peuples malgré eux ! Vous étreignez la gendarmerie comme un boa constrictor étouffe sa proie, avec le sentiment béat de servir la cause ! Mais votre cause monsieur Guillaumont poussée à son paroxysme tuera ce que vous prétendez protéger.
        
        Cordialement…
        
        « La royauté est anéantie, la noblesse et le clergé ont disparu, le règne de l’égalité commence. »
        Maximilien de Robespierre (1758-1794)
      2. Ronald Guillaumont dit :
        
        29 octobre 2013 à 1 h 10 min
        
        Cher Mr Carnavon,
        vous devenez à mes yeux de plus en plus sympathique et je suis certain que dans un face à face nous arriverions à trouver ce qui nous réunis bien plus que ce qui nous sépare.
        
        Je tiens à vous remercier de votre aveux de langage « belliciste » et croyez bien que je suis convaincu et certain que vous êtes un pacifiste. Je suis également convaincu et persuadé que vous avez le respect et l’amour de cette Arme que nous avons servi et que nos dialogues sont bien loin d’une polémique ou d’un conflit entre vous et moi.
        
        La où je ne vous rejoint pas c’est en ce qui concerne le commandement de 17/18, car nos hommes politiques d’aujourd’hui le reconnaissent en préparant une loi réhabilitant nos « fusillés pour l’exemple ».
        Aucun de nos poilus de l’époque, même fusillé pour l’exemple, n’a été un lâche ou traitre à son pays. Ils n’ont été que les victimes, non pas de la hiérarchie mais d’une oligarchie se croyant investie de tout les pouvoirs, y compris du droit de vie ou de mort sur le subalterne.
        
        Dans le langage militaire il y a d’ailleurs deux mots que je n’aime pas ; « Supérieur et Subalterne »… Voila deux « vilains » mots qui, même au sein du corps des officiers, sont couramment employés… Il n’y a pas de « supérieurs », il n’y pas de « subalternes », il n’ y a que des hommes placés à différents niveaux en fonction de leurs qualités professionnelles et de leurs responsabilités. Mais des hommes égaux en droits et en devoirs.
        
        Vous parlez de « traines savates » qui honnissent la hiérarchie. Par cette vision vous faites bien peu cas de cette hiérarchie. Car en fait dans toute société il faut un statut pyramidale, sans cela la société s’écroule.
        
        Il est évident que pour qu’une pyramide tienne son équilibre le sommet doit s’appuyer sur sa base et que sans cette base le sommet s’écroule. De ce fait un chef pour commander se doit d’avoir une base et une troupe. Si il n’a plus de troupe, il ne commande plus rien et de fait n’est plus un chef.
        
        La base doit avoir envie de « porter » et de suivre son chef. Et c’est au chef, par ses qualités, d’impulser à la base cette envie de le porter et de le suivre. Nous ne pouvons dans ce cas d’espèce parler de « traines savates », car le « Chef » qui penserait ainsi de sa troupe n’est pas digne d’en être le chef.
        
        Et la où je vous approuve à 100% c’est de citer Maximilien de Robespierre, car en effet et je l’espère de tous mes vœux « La royauté est anéantie, la noblesse et le clergé ont disparu, le règne de l’égalité commence. »
        
        Après ce dialogue intéressant,
        je vous présente mes cordialités les plus sincères.
        Ronald Guillaumont.
carnavon dit :

27 octobre 2013 à 15 h 58 min

vous prétendez ne faire aucun commentaire mais vous terminez votre diatribe par « fermez vos gueules »….
Ce serait drôle si c’était du second degré….

Répondre
1. Ronald Guillaumont dit :
  
  27 octobre 2013 à 16 h 33 min
  
  Je comprend votre désarroi Mr Carnavon mais il ne s’agit pas ici d’un commentaire mais d’une conclusion. Toutefois et vu de votre « docilité » revendiquée
  dans vos commentaires précédents, j’ai du mal a comprendre le sens de vos interventions.
  
  Répondre

Laisser un commentaire Annuler la réponse